Conclusion
Le destin heureux de ces quelques courtisanes reconnues sont bien sûr des exceptions. La plupart des prostituées et demi-mondaines souffraient de manque d’argent et étaient sous le joug de matrones ou de proxénètes qui les exploitaient. Les artistes et auteurs permettent de connaître davantage ces histoires, heureuses comme tragiques.