Passer au contenu principal

Transmission et postérité

Jacques Guay a eu l’occasion de transmettre son art à plusieurs élèves comme la marquise de Pompadour, qui a fait installer le touret de M. Guay dans ses appartements à Versailles.

Le Traité des pierres précieuses et de la manière de les employer en parure que Jean-Henri-Prosper Pouget publie en 1762 mentionne également l’existence de « Madame Feulie, éleve de M. Gué, morte à Paris en 1759, [qui] s’est distinguée dans la gravure en Pierres ; elle exerçoit aussi la Jouaillerie ».

Jean-François Leturcq, mentionne que la maison que lui avait laissé son père adoptif M. Beck, appartenait à son maître Jacob-Mayer Simon, lui-même élève de Jacques Guay et possesseur de ladite propriété (située dans le quartier du Marais, au N°6 Rue Portefoin et où il aurait installé son atelier au troisième étage). Jacques Guay a eu donc également un troisième élève prénommé Jacob-Mayer Simon. C’est grâce à cette personne (et par l’intermédiaire de M. Beck) que Jean-François Leturcq hérite d’une partie des pierres gravées, empreintes, modèles en cire de Jacques Guay et de la documentation à partir de laquelle il a pu réaliser sa notice.

Enfin, un autre élève « M. Michel » est mentionné dans la Description des principales pierres gravées du cabinet de S. A. S. Mgr le duc d'Orléans (1780-1784).