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Ce brevet rédigé en français accorde à l'ancienne nourrice de Joséphine de Beauharnais une pension à la suite de son travail au sein de la famille.

Lit d'époque provenant de l'habitation principale du domaine de la Pagerie et ayant appartenu à Joséphine de Beauharnais, il est un reflet de la vie domestique de la famille des propriétaires.

Pot de chambre à contours fleuris en terre cuite, témoignage de la vie domestique sur le domaine de la Pagerie. Date de l'époque de l'enfance de Joséphine de Beauharnais

Grande pince à sucre en fer de 25cm, témoignage de l'exploitation agricole de la canne à sucre ainsi que du travail personnes mises en esclavage sur le domaine.

Cette gravure représente Joséphine et Bonaparte en pleine conversation dans les jardins de Malmaison. On reconnait en arrière plan l'entrée du château. D'autres personnages en retrait semblent également profiter des jardins. Une attention a été…

Cette berceuse cannée en acajou, rotin, et tissu évoque non seulement la vie domestique luxueuse des planteurs, mais aussi la petite enfance de l'impératrice Joséphine.

Ce mouchoir en coton brodé témoigne de la présence de Joséphine sur le domaine de la Pagerie. Son état de dégradation est assez avancé mais on peut tout de même remarqué la finesse de la broderie fleurie sur le bord du mouchoir.

Cette petite pince à sucre de 16cm en acier a été retrouvée par le Dr. Rose-Rosette lors de fouilles. Elle témoigne de l'exploitation de la canne à sucre dans le domaine et évoque le travail des esclaves.

Cet ensemble de chaînes d'esclave a été conçu pour des femmes. Il comporte des menottes pour les mains mais aussi pour les pieds et en dit long sur les conditions de vie des esclaves sur le domaine.

Menottes d'esclaves en fer de 21cm de long trouvé par le Dr. Robert Rose-Rosette sur le domaine de la Pagerie